Citations du 13 Mai 2012, lors de la fête des mères

Bonjour à tous,

Veuillez trouvez ci-dessous les citations que nous avons partagé ensemble à

l'occasion de la fête des mères ainsi que le lien si vous désirez relire le discour,

merci pour votre participation pour les papas et merci au maman!

 

Vous avez toutes été envoyées des cieux par James E. Faust

http://www.lds.org/conference/talk/display/0,5232,23-6-320-36,00.html

Vous avez été envoyées des cieux. Par votre beauté, vous êtes l’ornement de la race humain. Votre rôle de sœurs est spécial et unique dans l’œuvre du Seigneur. Vous qui édifiez et êtes attentionnées, vous avez, comme l’a dit Joseph Smith, le prophète, « la charité et la bonté ».


Dans les premiers jours du Rétablissement, le Seigneur s’est adressé à Emma Smith par l’intermédiaire de son mari, Joseph Smith, le prophète, pour lui donner des instructions
et des bénédictions : « Sois fidèle et marche dans les sentiers de la vertu devant moi… Tu n’as rien à craindre…Tu délaisseras les choses de ce monde et rechercheras
les choses d’un monde meilleur… Élève ton cœur et réjouis-toi… Et tu recevras une couronne de justice c’est là ma voix à tous » (voir D&A 25:2, 9, 10, 13, 15, 16).
Plus tard, Joseph Smith, le prophète, a dit aux soeurs : « Si vous vous montrez dignes de ces bénédictions, rien ne pourra retenir les anges de vous accompagner


 « Parce qu’elle est mère » par Jeffrey R. Holland

Mais avec les nuits où il faut donner le biberon et bercer l’enfant qui a mal aux dents, le plus dur pour une jeune mère est tout simplement l’épuisement. Pendant ces années-là, les mères se passent plus souvent de sommeil et donnent plus d’elles-mêmes sans pouvoir se régénérer que tout autre groupe que je connaisse à tout autre moment de la vie. Il n’est pas surprenant de leur voir sous les yeux des cernes qui peuvent prendre l’aspect de valises. Faites de votre mieux au cours de ces années chargées mais, quoi que vous fassiez d’autre, chérissez ce rôle qui vous est si particulier et pour lequel les cieux envoient des anges veiller sur vous et sur vos petits.

«  Filles de Dieu »par M. Russell Ballard

http://www.lds.org/conference/talk/display/0,5232,23-6-854-37,00.html

 Chaque mère a des difficultés différentes, des capacités différentes et assurément des enfants différents. Le choix est différent et propre à chaque mère et à chaque famille. Beaucoup réussissent à être des « mères à plein temps », au moins pendant les années les plus formatrices de la vie de leurs enfants, et  beaucoup d’autres aimeraient pouvoir l’être. Il se peut que certaines doivent travailler à temps partiel ou à temps plein ; certain chez elles. Certaines peuvent diviser leur vie en périodes passées à la maison, avec la famille et au travail. L’important est qu’une mère aime profondément ses enfants et, en accord avec son attachement à Dieu et à son mari, leur accorde la priorité absolue.

«  Aux femmes de l’église «  par Gordon B. Hinckley »
Vous êtes des compagnes, la meilleure amie que  votre mari a eue ou aura jamais. Vous êtes des maitresses de maison. Cela sembe peu de chose, n’est ce pas ? Mais quel travail de tenir une maison propre et bien rangée.  Vous êtes des acheteuses. Jusqu’à assez tard dans la vie je n’aurais jamais imaginé quelle responsabilité exigeante c’est de veiller à ce qu’il y ait de la nourriture dans le garde-manger, des vêtements propres et présentables, et d’acheter tout ce qui est nécessaire à la bonne marche d’un foyer. Vous êtes des infirmières. Vous êtes la première qu’on met au courant de la moindre maladie qui se présente, et la première à réagir et à apporter de l’aide jour et nuit, le réconfortant, l’encourageant, le servant et priant.
Vous êtes le chauffeur de la famille. Vous conduisez vos enfants vous allez les chercher ici et là, tandis qu’ils mènent leur vie affairée.



L’influence des mères par  Joseph F. Smith,

La mère qui réussit à élever un bon garçon ou une bonne fille, et à leur faire suivre son exemple et ses préceptes dans la vie, plante les graines de la vertu, de l’honneur, de l’intégrité et de la justice dans leur cœur ; et toutes ces valeurs se ferons sentir tout au long de leur vie. Ou que ces enfants, devenus adultes, aillent, quelles que soient leurs fréquentations, les effets positifs de l’exemple de leur mère se feront toujours sentir et ne s’arrêteront jamais, parce qu’ils s’étendront à leurs enfants de génération en génération. Et nous espérons particulièrement qu’il en sera ainsi dans l’Evangile de Jésus-Christ.


Mot de Clôture « Dans les bras de son Amour » : Gordon B. Hinckley :
Vous n'êtes pas des citoyennes de deuxième catégorie dans le royaume de Dieu. Vous êtes ses créatures divines. Les hommes détiennent la prêtrise. Votre rôle est différent, mais aussi extrêmement important. Sans vous, le plan du bonheur de notre Père échouerait et n'aurait aucun sens réel. Personne ne peut vous ignorer à la légère. (Le Liahona, novembre 2006, p. 118)

"Ne pas oublier" par le Président Uchtdorf.

Nous vous souhaitons de passer une bonne semaine!
La présidence

Paques est la réssurection du Christ

Jésus-Christ a vécu il y a longtemps. Notre Père céleste l’a envoyé ici-bas pour aider pères, mères, garçons et filles à faire le bien. La plupart du temps, il a habité dans un pays que l’on appelle maintenant Israël.
Jésus aimait tous les gens. Certains étaient méchants et ne l’aimaient pas. Ils l’ont cloué sur une croix.

Jésus-Christ a souffert et est mort. Les gens qui l’aimaient étaient très tristes. Ils ont enlevé son corps de la croix et l’ont enveloppé dans un beau drap blanc. Ils ont porté son corps dans un tombeau. Un tombeau ressemble à une grotte où l’on ensevelit les gens. Ils l’ont déposé doucement.

Les amis de Jésus-Christ ont ensuite fermé le tombeau en roulant une grande pierre devant l’entrée.
Les amis de Jésus-Christ ne comprenaient pas qu’il allait revivre. Des soldats sont venus et ont gardé le tombeau où se trouvait son corps. Le troisième jour après sa mort, avant le lever du soleil, des anges sont venus et ont roulé la pierre pour dégager l’entrée. Son corps n’était pas là. Les soldats ont eu si peur que l’espace d’un instant ils n’ont pas pu bouger. Dès qu’ils l’ont pu, ils se sont enfuis.

Ce matin-là, des femmes sont venues au tombeau. Elles aimaient Jésus-Christ et sont venues mettre des aromates sur son corps comme les gens faisaient à cette époque. Elles ont vu que la pierre avait été roulée pour dégager l’entrée. Elles sont entrées dans le tombeau et ont vu un ange habillé de blanc et elles ont eu peur. L’ange leur a dit: «Ne craignez pas…. Il n’est point ici; il est ressuscité.»

A votre avis, qu’ont ressenti les amies de Jésus quand elles ont vu qu’il était ressusité?
Lorsque Jésus est ressuscité, il est devenu immmortel et il a aussi donné à tous la possibilité de ressusciter et de devenir immortels. Cela signifie qu’après la résurrection, nous ne mourrons plus jamais. Nous pouvons vivre pour toujours avec notre famille.
http://www.lds.org/library/display/0,4945,8187-1-4473-14,00.html

Un sur un million

Découvrez quelques-uns du million d’enfants de la Primaire à travers le monde. Vous pourriez vous apercevoir qu’ils vous ressemblent !

Le sage et le fou




Lisser ensemble le cantique "Le sage et le fou"

Avez-vous déjà fait un château de sable ? Avez-vous regardé les vagues l’emporter ? Si vous construisiez une maison pour y habiter, vous ne la construiriez pas sur du sable. Vous la construiriez sur une fondation solide, par exemple en béton ou en pierre. Ensuite, qu’il pleuve, qu’il y ait une inondation ou que le vent souffle, votre maison ne bougerait pas.

Jésus a expliqué : « C’est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc – et la pluie est tombée, et les torrents sont venus, et les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison ; et elle n’est point tombée, parce qu’elle était fondée sur le roc » (3 Néphi 14:24-25).

Ce roc est l’Évangile de Jésus-Christ.

Si vous construisez votre vie en prenant le soin d’avoir Jésus comme fondement, votre vie tiendra ferme dans la tourmente de l’adversité. Comment bâtit-on sur la personne du Christ? En menant une vie juste, en obéissants aux commandements, en priant, en témoignant en allant à l’église aux réunions, aux activités…
Votre vie repose sur Jésus à la manière d’une maison qui repose solidement sur le roc.

Le fondement du bonheur: histoire

Un fondement assure une base solide sur laquelle on peut construire quelque chose. La plupart des immeubles et des maisons sont construits sur des fondations.
Quand les saints des derniers jours ont commencé à poser les fondations du temple de Salt Lake City, ils ont mis des blocs de grès sur plusieurs niveaux. Il leur a fallu huit ans pour réaliser des fondations de deux mètres quarante de profondeur. Quand ils ont appris que des soldats arrivaient, ils ont recouvert les fondations de terre pour les dissimuler. Plus tard, quand la terre a été retirée, on s’est aperçu que les fondations présentaient des fissures et avaient bougé. Les saints savaient que les fondations fissurées ne pourraient pas soutenir le temple. Ils ont donc retiré les blocs de grès et les ont remplacés par de gros blocs de granit. Une fois ces fondations solides en place, les ouvriers ont commencé à lever les murs du temple.
Le temple avait besoin de fondations solides en granit et, comme lui, toi et ta famille avez besoin d’un fondement solide sur lequel bâtir.

Bonne semaine,

Thème du troizième dimanche

Les Prophètes et les Apôtres de Dieu nous parlent aux conférence général.

Qu’est-ce que la conférence générale ?

La Conférence générale est un rassemblement semi-annuel de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours. Au cours du week-end de la conférence générale, les membres de l’Église et d’autres personnes intéressées se réunissent partout dans le monde pour assister à plusieurs sessions de deux heures afin de recevoir de l’inspiration et des enseignements de la part des dirigeants de l’Église.

Quand a lieu la conférence générale?
La conférence générale a lieu les premiers week-ends d’avril et d’octobre.

Comment dois-je me préparer et préparer ma famille pour la conférence générale ?

La conférence générale est conçue pour être une expérience de révélation tandis que les participants reçoivent l’enseignement des prophètes et des apôtres actuels par le pouvoir et l’influence du Saint-Esprit. Une préparation convenable vous permettra de tirer le maximum de l’expérience de la conférence.






Le centre de conférence à Salt Lake City












Le coeur du tabernacle






Vont-ils avoir la vie éternelle?

En comprenant comment les enfants réagissent à des situations traumatisantes, les parents peuvent les aider à surmonter des moments difficiles.

Aider les enfants à se sentir en sécurité


Nous vivons à une époque où des problèmes difficiles (par exemple le divorce, la maladie, la mort, les accidents, les catastrophes naturelles, les guerres, la perte d’un emploi) menacent le sentiment de sécurité au foyer. Cependant, il y a beaucoup de choses que les parents peuvent faire pour aider les enfants à avoir un sentiment de stabilité, de sécurité et de protection en dépit de ces influences perturbantes.

Réactions des enfants

Pour aider les enfants à surmonter les situations traumatisantes, nous devons d’abord comprendre comment ils y réagissent. Ces réactions dépendent de la stabilité de la famille, de l’âge et de la maturité émotionnelle de l’enfant.

De la naissance jusqu’à six ans

Un nourrisson peut exprimer la gêne provoquée par une perturbation en s’agitant, en pleurant et en désirant être pris dans les bras. Souvent, tout ce dont les bébés ont besoin, c’est d’être tenus ou nourris par leur mère ou leur père. Les jeunes enfants sont plus mûrs que les bébés. Néanmoins, une perturbation des habitudes peut faire qu’un enfant de six ans se sente désemparé. Il peut, par exemple, éprouver une grande anxiété s’il est séparé de ses parents au cours d’une catastrophe naturelle ou dans les mois qui suivent un divorce. En pareilles circonstances, les parents peuvent aider les jeunes enfants en maintenant leurs habitudes autant que possible. Ils peuvent continuer à faire la prière en famille, à prendre leurs repas ensemble et à garder tout ce qu’ils avaient l’habitude de faire avant que ne se produise le changement important. Cette continuité aide les enfants à avoir un sentiment de réconfort, de confiance et de stabilité.

Entre sept et dix ans

Les enfants plus âgés sont en mesure de comprendre le caractère définitif de l’absence de quelque chose ou de quelqu’un, que ce soit du fait d’un déménagement ou de la mort d’un parent. Lorsque cela arrive, il se peut qu’ils soient troublés par cet événement perturbant. C’est leur façon de voir la vie qui a été sérieusement ébranlée. Il se peut qu’ils parlent fréquemment de l’événement traumatisant pour tenter de comprendre comment faire face au problème. Il se peut qu’ils aient besoin d’aide pour comprendre ou exprimer leurs sentiments au sujet de cette expérience. Souvenez-vous que leurs capacités de raisonnement ne sont pas celles d’un adulte. Par exemple, il n’est pas inhabituel que les enfants pensent qu’ils sont responsables du divorce de leurs parents. Les parents peuvent les aider en découvrant ce qu’ils pensent et ce qu’ils ressentent et en corrigeant les idées fausses qu’ils peuvent avoir.

De onze à dix-huit ans

Les enfants de onze à dix-huit ans peuvent être préoccupés par les événements locaux, nationaux ou internationaux. Vers la fin de l’adolescence, les jeunes commencent à se rendre compte qu’ils vont passer d’une vie au foyer à une vie dans laquelle ils devront affronter eux-mêmes un monde tumultueux. Il se peut qu’ils se sentent submergés par des émotions intenses et ne sachent pas comment en parler.
Les parents peuvent aider leurs enfants adolescents en faisant avec eux des activités qu’ils affectionnent comme préparer le repas, jouer à des jeux de société ou faire du sport. Les parents peuvent aussi évoquer les expériences difficiles qu’ils ont eues à l’adolescence. Quand les parents expriment leurs pensées et leurs sentiments, les enfants se sentent plus à l’aise pour raconter ce qu’ils ont à l’esprit ou ce qu’ils éprouvent. C’est comme cela que l’on crée une intimité émotionnelle. Même s’ils ne font pas preuve d’un intérêt manifeste, les adolescents écoutent.

Ce que les parents peuvent faire

Les parents doivent premièrement se rendre compte que leurs enfants sont perturbés 1 . Il se peut qu’ils manifestent un comportement inhabituel, par exemple une tristesse ou une irritabilité prolongée, une augmentation ou une perte d’appétit, des troubles du sommeil, des difficultés de concentration ou des résultats scolaires anormaux. Les enfants plus âgés peuvent se livrer à des activités à haut risque, par exemple des actes d’imprudence, la consommation de substances nocives, une vie sexuelle active ou l’éloignement du cadre familial, amical ou social.
Vous pouvez les aider en sachant comment répondre à leurs besoins individuellement. Par exemple, vous pouvez leur apprendre, particulièrement lorsqu’ils sont jeunes, des mots pour décrire ce qu’ils éprouvent. Certains de ces mots peuvent être tristesse, colère, contrariété, peur, inquiétude et tension.
Si votre enfant adolescent commence à agir avec imprudence à la suite d’une situation traumatisante, écoutez attentivement ce qu’il dit et ce qu’il ressent. Comme pour les plus jeunes, aidez vos adolescents à décrire correctement leurs sentiments. Soyez également compréhensif, sachant qu’un événement traumatisant est peut-être à l’origine de cette attitude imprudente.
Quand vous commencerez à dialoguer avec vos enfants, essayez d’éviter de leur faire la morale et d’exprimer de la colère, des critiques ou des sarcasmes. Identifiez la blessure ou la peine que votre enfant ressent et faites preuve d’empathie. Vous pourriez commencer en disant : « Je sais que tu es triste à cause du décès de ton ami. Je ne peux qu’imaginer à quel point cela doit être difficile. Cela me préoccupe que tu aies commencé à boire de l’alcool parce que tu souffres. » En commençant la conversation par des paroles dures, on arrive rarement à quelque chose de bon.

Écoutez avec empathie

Parfois, vous pouvez être tenté d’éviter de parler à un enfant contrarié. Cependant, dans de nombreux cas, un enfant n’est pas capable de gérer sans aide les émotions qui le perturbent. Si vous les écoutez avec empathie lorsqu’ils évoquent leurs soucis, vos enfants se sentiront aimés et réconfortés.
Une bonne façon d’écouter avec empathie consiste à reformuler les sentiments de l’enfant de manière à être sûr que vous les avez compris. Il vous faudra peut-être l’aider à décrire ce qu’il ressent. Vous pourriez dire : « Tu sembles triste et tendu quand je te demande des nouvelles de ton ami dont les parents ont divorcé. » Attendez que votre enfant réponde puis donnez-lui l’occasion de poursuivre la conversation. Les enfants ont tendance à parler quand ils ont l’impression d’être maîtres de la conversation.

Aider les enfants à digérer leurs émotions

L’enfant peut se sentir plus maître de lui-même si on l’aide à digérer les émotions déplaisantes. Souvent, si vous écoutez avec empathie, votre enfant et vous serez capables de trouver ce qui a provoqué ces sentiments. Vous pourriez lui demander : « À ton avis, pourquoi est-ce que tu ressens ça ? » Attendez qu’il réponde et écoutez attentivement la réponse. Il se peut qu’elle ne vienne pas tout de suite.
Il vous faudra peut-être parfois trouver d’autres solutions en discutant ensemble. Vous pourriez demander quelle incidence la solution envisagée par votre enfant aurait sur les personnes concernées. La solution envisagée est-elle respectueuse de votre famille ou de ses amis ? Est-elle réaliste ? Que ressent l’enfant à son sujet ? Il se peut qu’il ne puisse pas trouver de solution immédiatement. Assurez-lui que vous l’aimez et que c’est normal de ne pas trouver de solution immédiatement.

Réagir avec foi

Quand vous remarquez un comportement inhabituel chez vos enfants et que vous les aidez à exprimer et à comprendre leurs pensées et leurs émotions dans un climat d’amour, cela leur permet de se sentir protégés.
Le plus important que vous puissiez faire pour susciter ce sentiment de sécurité au foyer c’est de vous appuyer sur le fondement des principes de l’Évangile de Jésus-Christ. Vous pouvez rechercher l’inspiration pour aider vos enfants en jeûnant, en priant, en sondant les Écritures et en allant au temple. Vous pouvez parler avec vos dirigeants de la prêtrise. Vous pourriez également solliciter l’aide d’un psychologue si les problèmes sont graves.
Si vous agissez en ayant foi en notre Père céleste et en son Fils, vous recevrez du réconfort et du soutien. Les enfants auront plus de réconfort et de stabilité si, ensemble, vous suivez les paroles des prophètes et continuez à mettre en pratique ce qui apporte la paix dans le foyer, par exemple la prière personnelle et familiale, l’étude des Écritures et l’assistance au temple.


Il serait manifestement injuste de priver un enfant  du privilège de recevoir toutes les bénédictions de l'exaltation dans le monde à venir, tout simplement parce qu'il est mort dans l'enfance. ... Les enfants qui meurent dans l'enfance ne seront pas privés de toute bénédiction. Quand ils grandissent, après la résurrection, à la pleine maturité de l'esprit, ils auront droit à toutes les bénédictions dont ils auraient eu droit s'ils avaient à eu le privilège de rester ici et de les recevoir » (Doctrines du Salut, 2: 54.)